lundi 8 juillet 2013

La lettre citoyenne n°20 et des extras

 

Au sommaire :

         Page une:
L'actualité plaisançoise :
  • Mamie avait-t-elle raison ? 
  • Une pétition citoyenne pour monsieur NELSON MANDELA  
Signez et faites signer la pétition ICI 
        
      Page deux:

 L'actualité internationale:
  • ATTENTION: un accord dangereux !
  • Le véritable enjeu de l’accord transatlantique : les normes

Un extrait du blog de Gérard Filoche

Bonne lecture et lisez aussi les extras ci dessous


lettre_citoyenne_20
           

LES EXTRAS
 
  • « On n'a rien vu venir »
(Ouvrage collectif, préface de Stéphane Essel)
"On n’a rien vu venir " est un roman à 7 voix destiné aux jeunes lecteurs de 10 ans et plus.
Il décrit, à travers le regard de 7 familles, l’arrivée au pouvoir du "Parti de la Liberté" et les mesures radicales qui s’ensuivent.
Les 7 chapitres présentent diverses facettes de la politique extrémiste d’un parti qui s’est fait discrètement sa place et pour qui la plupart ont voté, parce que ce qu’il disait avait l’air si bien…
Un texte qui montre, avec des mots adaptés à son public, les dégâts que peut produire la propagande démagogique, lorsqu’ " on n’a rien vu venir ".

  • L’ÉCHO DES OMBRES

Le racisme et la haine de l’autre (le bouc émissaire) n’est pas un phénomène nouveau.

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  • Pas de fracture intergénérationnelle !
Pour jeter les actifs d’aujourd’hui et de demain dans les bras des compagnies privées d’assurances, les défenseurs de l’ordre libéral, relayés par les médias, ont lancé une vaste campagne d’intox : « Pourquoi cotiser puisque à la sortie pas de retraite ! ».

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  • IL N’Y A PAS QUE LE « COÛT DU TRAVAIL » …

Coût du capital, la question qui change tout

Par Laurent Cordonnier

Extrait : « Afin de justifier toutes sortes de réformes, médias et gouvernants se prévalent de leur disposition à bousculer les « archaïsmes » et à faire preuve de courage.
Mais il s’agit toujours et en définitive de réduire salaires et prestations sociales. Il existe pourtant bien un tabou pénalisant tous ceux qui souhaitent investir et créer de l’emploi : le coût prohibitif du capital. »
Pour lire la suite : LE MONDE diplomatique – N°712 – Juillet 2013